Parc des Berges du Lez

REGLEMENT INTERIEUR

Le règlement intérieur du parc a été prévu afin de préserver le bon état, la propreté et la tranquillité des lieux. Il est affiché à proximité des trois portails d’entrée. On en trouvera une reproduction dans l’album photo n°1 «  Le parc et son environnement ».

                                  ITINERAIRES D’ACCES

AU PARC DES BERGES DU LEZ ET AUX IMMEUBLES ALENTOUR

Arrivée par autoroute A9 (de l’est ou de l’ouest indifféremment) :

Prendre la sortie 29 ( Montpellier Est)

Direction Millénaire, Montpellier Centre tout droit sur 4.5kms environ

Juste avant l’Hôtel MERCURE, qui fait face, bifurquer à droite

Emprunter la rue d’Epidaure qui longe la ligne de tramway gazonnée n° 4

Tournez encore à droite, selon la destination exacte,

soit vers l’allée de Corfou ( 687 rue du Moulin de Semalen –Château le Lez )

soit tout au fond vers la rue du Moulin de Semalen

(502 Terrasses Botaniques et 551 Résidence du Lez)

Arrivée par le train :

Emprunter le tramway ligne direction Albert 1°

Descendre à la station Pompignane.

Le trajet est long mais vous êtes arrivé

ou alors prendre le tramway ligne 1 (le bleu) directionMosson et changer à Corum pour prendre le tramway ligne 4 direction

Arrivée par avion :

Le car navette vers Montpellier peut vous déposer aux Halles Jacques Cœur,

Distantes de 300m. environ de notre parc.

Arrivée du centre ville :

Le mieux c’est à pied, en traversant Le Polygone et Antigone jusqu’au Lez,

face à l’Hotel de Région et en poursuivant la voie piétonne sur la gauche,

sur environ

300 mètres

.

On peut aussi emprunter le tramway en descendant « Place de l’Europe »

(ligne1) ou à la station Pompignane (ligne 2 ).

PLAN DE SITUATION

Les outils actuellement disponibles pour décrire un site sont devenus bien plus précis, que les plans manuscrits antérieurs à la révolution française, conservés par les archives municipales de la ville.

L’Agglomération de Montpellier a inauguré en octobre 2006 un système  d’information géographique 3D de son territoire, très précis et qui permet les extractions informatiques.

L’album photo n°2, intitulé « topographie des lieux », contient deux images provenant de cette banque de données. Elles constituent une représentation aérienne très exacte et actuelle du périmètre qui nous intéresse.

L’une de ces images offre un aperçu de l’actuel hyper centre de Montpellier, qui a désormais largement débordé les murs d’enceinte délimitant jadis « l’Ecusson » et constituant « le clapas », cher aux anciens montpelliérains. Il correspond maintenant à une boucle irrégulière, délimitée par le tracé panaché rouge et bleu représentatif du cœur et des interconnections, à la gare, au Corum et à Antigone, des lignes 1 et 2 du tramway.

Notre parc se situe à l’angle nord-est, tout juste en périphérie de cette boucle, sous la station de tramway Pompignane représentée sur la seconde image, obtenue en zoomant sur la première. Notre allée de platanes encerclée d’immeubles, donnant d’une part sur la ligne 2 (rouge) du tramway, d’autre part directement sur le Lez, y apparaît très clairement.

Le Moulin de Salicate, au nord et la passerelle du pont de l’Evêque au sud , sont également bien visibles. A vol d’oiseau, la station « Pompignane » se trouve exactement à

1050 mètres

Les charges d’entretien du parc sont réparties entre les 8 copropriétés au prorata de leurs m2 SHON, selon le tableau ci-dessous, validé par courrier de la Mairie de Montpellier du 20.02.2006.

Le parc est géré par le président du conseil d’administration, constitué des 8 syndics de copropriétés, assisté et contrôlé par un conseil de surveillance, constitué des 8 présidents de conseils syndicaux.

Président

Membres

Une Association Syndicale Libre (ASL), régie par la loi du 21 juin 1865 et les textes qui l’ont modifiée, a été constituée par acte notarié, en vue de permettre la gestion du parc, propriété commune des 8 copropriétés qui l’entourent. Cet acte notarié est partie intégrante du titre de propriété de chaque acquéreur d’appartement.

Chaque copropriété est représentée dans l’ASL par son syndic, qui participe aux assemblées générales, sans avoir à justifier d’une autorisation préalable de l’assemblée générale de son syndicat.

Les votes du syndic sont considérés comme l’expression de la volonté de ceux que le syndic représente.

L’ensemble des syndics forme le conseil d’administration de l’ASL. Chaque syndic y possède un droit de vote au prorata de la part de surfaces hors œuvres nettes (m2 SHON), que chaque copropriété représente dans l’ensemble.

De la même manière, les frais et charges de gestion du parc sont répartis entre les copropriétés au prorata des m2 SHON dans l’ensemble.

Les syndics élisent en assemblée générale l’un d’entre eux comme président. Le président  élu  est le représentant officiel et exclusif de l’ASL. Il a les pouvoirs de gestion les plus étendus dans le cadre et pour la réalisation de l’objet de l’association.

En vue d’une meilleure représentation des copropriétaires dans la gestion du parc, un conseil de surveillance a été constitué, par modification des statuts en 2002, composé des présidents des conseils syndicaux de copropriétés. Un président du conseil de surveillance est élu par ses pairs. Celui-ci est de droit scrutateur de l’assemblée générale de l’ASL.

Le conseil de surveillance assiste le président de l’ASL et contrôle sa gestion. Il désigne un vérificateur aux comptes qui a pour mission de contrôler la comptabilité de l’ASL et d’en rendre compte à l’assemblée générale.

Les membres du conseil de surveillance assistent en observateurs aux assemblées générales sans y détenir le droit de vote, exercé par leurs syndics respectifs. Ils reçoivent copie des convocations et des procès-verbaux et sont ainsi parfaitement informés de la gestion du parc.

Résidant tous sur place, ils sont aussi les mieux placés pour signaler les éventuels dysfonctionnements susceptibles d’être relevés au quotidien et exprimer leur avis sur les améliorations souhaitables.  Leur proximité est primordiale pour assurer la tranquillité et l’agrément des lieux.

De nombreux moulins jalonnaient jadis les berges du Lez. Trois moulins encadraient le site où nos sommes maintenant installés, sur moins de 600 mètres.

On en retrouve la trace sur les plans manuscrits antérieurs à la révolution française de 1789, détenus par les Archives Municipales de Montpellier. 

Le Moulin de Salicate le plus en amont existe toujours, bien que désaffecté. L’Agglomération de Montpellier a le projet de le transformer en musée rappelant l’histoire des moulins. Le Moulin de Semalen juste au nord de notre ensemble a été démoli vers 1990. Le Moulin de L’Evêque un peu plus en aval n’a pas survécu non plus aux travaux de la ZAC d’Antigone. Une passerelle rappelant son nom surplombe un ouvrage de retenue, dont les vannes s’ouvrent en cas de fortes crues du Lez. L’eau se répand alors dans « l’épanchoir » entre l’Hôtel de Région et les restaurants qui lui font face, protégés par plusieurs marches qui les mettent à l’abri des inondations. 

Cet « épanchoir » figurait déjà sur les plans anciens. Il est maintenant doté de barrières amovibles à feux clignotants pour interdire la circulation automobile. Le niveau d’eau y est assez impressionnant les jours de fortes pluies, alimentant à chaque fois des informations télévisuelles de nature à inquiéter nos connaissances lointaines. Mais les crues semblent toujours avoir été à cet endroit maîtrisées, ce qui n’est pas le cas plus en aval.

On notera que les plans manuscrits anciens (cf album photo) sont assez approximatifs puisque l’un représente une rivière quasi-rectiligne, tandis que l’autre marque un coude prononcé, avec une « île »  juste au-delà du moulin de Semalen

Un chemin dénommé sur ces plans « chemin du moulin de Semalen à celui de l’Evêque » correspondait à notre actuelle allée de platanes. Une dérivation du Lez dénommée « agau de Semalen », dont l’eau servait à faire tourner le moulin, existait sur l’emplacement de l’actuelle Résidence du Lez. Le promoteur de l’immeuble a eu raison de prévoir de solides pieux de béton armé pour lui servir de fondations !

Le moulin « bladier » de Semalen, destiné à moudre le blé, semble avoir été créé au début du XI° siècle. Dès 1192 il aurait été converti en moulin drapier, mais il est possible qu’il ait conservé les deux usages, devenant ainsi moulin mixte.

Au XIX° siècle le moulin sera reconverti dans la fabrication de bards en pierre du pays. Il cessa toute activité hydraulique vers 1950. A cette époque une entreprise frigorifique utilisera le moulin et ses dépendances pour la fabrication de pains de glace, les turbines fonctionnant à l’électricité, faute de l’énergie hydraulique espérée par l’entrepreneur. 

Vers 1997, seules quelques « cabanes » et un ou deux beaux mimosas subsistaient sur le terrain. D’anciens montpelliérains se souviennent qu’un centre équestre y a également fonctionné. Il serait intéressant d’en retrouver des cartes postales pour enrichir notre album photo.

Sources bibliographiques : Archives de Montpellier, Mémoire de maîtrise d’aménagement du territoire – Les Moulins du Lez – Geneviève DUMAS – juin 1993 

Un site exceptionnel en milieu urbain

Notre parc constitue un espace vert privé, de 8500 m2, planté d’une allée centrale de 42 platanes de vieille souche, ainsi que d’une végétation méditerranéenne variée. Il appartient aux 8 copropriétés qui l’encerclent. Celles-ci regroupent 360 logements de qualité, dotés pour la plupart de vastes terrasses et de larges baies vitrées

L’ensemble a été aménagé à l’initiative de la SERM (Société d’Équipement de la Région de Montpellier), sous la conduite de François FONTES, architecte réputé, entre 1998 et 2000, sur le site de l’ancien moulin de Semalen, créé au début du 11° siècle. Il est bordé à l’est par un chemin réservé aux piétons et aux cyclistes, continu sur 11kms vers la mer, le long de la rivière le Lez puis des étangs peuplés de flamants roses et d’aigrettes, jusqu’à Palavas.

La seconde ligne de tramway de Montpellier, livrée fin 2006, qui partage en deux voies, la rue d’Epidaure, pratiquement réservée à la desserte locale, borde le site à l’ouest d’un ruban gazonné. La station de tramway « Pompignane » ferme l’accès nord, tandis que l’accès sud permet d’accéder au centre ville à pied, en une vingtaine de minutes, en parcourant le mail piétonnier, maintenant très animé d’Antigone, pour rejoindre la Comédie, la gare, le musée Fabre rénové et le vieux Montpellier. Bien sûr le tramway y conduit aussi.

A proximité immédiate, Montpellier offre ses plus beaux équipements collectifs : La Bibliothèque centrale d’Agglomération Zola, la piscine Olympique, les facultés neuves de Richter, le grand lycée et le collège généralistes Joffre, le grand lycée professionnel Mermoz, Le Corum, palais de la musique et des congrès, les halles Jacques Cœur, l’Hôtel de Région et l’Hôtel d’Agglomération.

Toujours par itinéraire piétonnier et cyclable, on accèdera le long du Lez, vers 2011, à la nouvelle mairie de Montpellier conceptualisée par l’architecte Jean Nouvel, puis plus tard, au probable musée d’art contemporain programmé au-delà d’un nouveau parc public, à l’est du Port Marianne, encore en chantier.

Ni les plus petits, ni les aînés ne sont oubliés dans ce paysage, qui disposent les premiers de crèches ainsi que d’écoles maternelles et primaires de proximité. Les seconds du réseau des Maisons pour Tous, notamment à Antigone

Enfin et surtout, le site est particulièrement apprécié des résidents pour son environnement de verdure, à l’écart du bruit et de toute circulation automobile, autre que de desserte locale.

AVERTISSEMENT : Le présent blog, conçu pour diffuser aux résidents, les photographies prises à l’occasion de la fête des voisins du 29 juin 2007, reste pour le moment en cours de construction. Il sera amélioré, en fonction de la demande, pour servir d’outil de communication interne aussi bien qu’externe, vers les nouveaux venus, ceux qui voudraient y venir, ainsi qu’aux visiteurs.

GESTIONNAIRE DU BLOG : adrien.wicart@numericable.fr